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1 Comment

  1. maria elisa riboldi
    21 Luglio 2014 @ 15:24

    Depuis le 23 juin, dans le port de Gênes, un chargement d’ aides humanitaires (6 containers: tout materiel médical/ 2 ambulances / couveuses) est en attente de départ vers Gaza. Faute de permis et voies possibles… rien ne se passe! Voici là un paradigme de l’ immobilisme européen qui n’ est plus capable d’ offrir l’ espoir d’ une possibilitè de passage par l’ Egypte ou Israel. Ce convoi, pourtant, ne représente pas qu’ un élan éthique de la part de tous ceux qui ont adhéré à une initiative de Music for peace (beaucoup d’étudiants!) et qui en ce moment dramatique pourrait à lui seul suffire. Mais il constitu de meme pour notre ville un geste fortement symbolique car le port nous ramène structurellement à une idée d’ accueil, mais aussi à la volonté, aujourd’ hui, de sortir de nous-meme par un mouvement d’ ouverture et de rencontre qui fut hélas par le passé souvant que conquete.
    En tant qu’ enseignante je voie à Genes comme à Marseille … face à la mer cette ligne d’ horizon qui nous invite au-delà et devient un projet pédagogique pour nos élèves:
    les enmener regarder plus loin, pour voir mieux de près – à défaut de toute régle d’ optique.

    Monsieur A. Gresh, connaissant votre sensibilité vers ces arguments, j’ ai pensé vous soumettre cette “petite” information car je désirais la partager avec votre journal que j’ ai eu l’ heureuse occasion de lire dès mon adolescence et qui m’ a beaucoup apporté.

    Je vous remercie pour votre attention.

    maria elisa riboldi

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